Pourquoi Consulter ?

Il n’y a pas, à proprement parler, de bonnes ou de mauvaises raisons pour consulter un psychologue.

Chaque être est singulier, chaque trajet et chaque demande est unique.

Les motifs les plus fréquents sont les suivants:

Parce qu’on éprouve des difficultés personnelles: on se sent mal dans sa peau, on a peur de ceci ou cela, on est angoissé, déprimé ou stressé; en somme, on sait que quelque chose ne va pas, qui nous empêche de nous épanouir;

Parce qu’on vit une épreuve : on a fréquemment besoin d’aide lors d’événements douloureux tels qu’une maladie grave, un deuil, une séparation, un échec, une perte d’emploi, etc.;

Parce qu’on éprouve des difficultés dans ses relations avec les autres: au sein du couple, de la famille, ou encore parce qu’on se sent seul, isolé;

Parce qu’on juge sa sexualité insatisfaisante;

Parce qu’on veut vivre différemment : sans que ce soit nécessairement dû à une existence difficile, on veut mieux se connaître, on veut développer ses potentiels, enrichir sa vie et engager une démarche d’évolution personnelle;

Parce qu’on a une décision à prendre : pour en analyser les avantages et les inconvénients, pour se préparer aux conséquences de la décision, pour y voir plus clair, etc.;

Parce qu’on veut s’orienter : ou devrais-je investir mes énergies, vers quels objectifs diriger ma carrière, ma vie ?

Toutes ces raisons, et beaucoup d’autres, sont valables et légitimes.

La plupart du temps, nous croyons pouvoir régler nous-mêmes ces difficultés; nous pensons aussi que le temps finira par arranger les choses. Malheureusement, il n’est pas toujours possible de trouver en soi ou dans son entourage les ressources nécessaires pour faire face à la situation.

Un professionnel peut alors nous aider à déterminer et à affronter les problèmes pour les résoudre de façon satisfaisante. De plus, comme pour un problème d’ordre physique, il vaut mieux agir au plus tôt.

A chaque âge de la vie (enfant, adolescent, adulte, sénior), tout-un-chacun, peut consulter.

 

« Chaque homme dans sa complexité psychique est un chef d’oeuvre »
Joyce McDougall

 

La consultation peut être en individuel, en couple ou familiale.

Au travers d’un accueil bienveillant, d’une écoute attentive, neutre et sans jugement, je propose de mettre en place le suivi le plus adapté à la singularité de chaque situation :

  • entretiens d’aide et de soutien
  • psychothérapie brève ou longue
  • psychanalyse

La thérapie se fonde sur une relation de confiance,

c’est de cette dynamique interactive que dépends le résultat.

Entretiens d’aide et de soutien

Aide ponctuelle au moment d’une situation précise, d’une épreuve, d’un événement douloureux voire traumatique :

  • décision importante à prendre
  • traumatisme
  • deuil
  • maladie
  • isolement
  • soucis éducatifs
  • difficultés scolaires
  • perte d’emploi
  • séparation
  • vieillissement
  • etc…

Lorsque vous éprouvez le besoin d’être entendu(e), soutenu(e), guidé(e)…

Psychothérapie

La psychothérapie permet à un être en souffrance psychique de régler les symptômes qui l’empêchent d’avancer et de trouver la place qu’il désire dans l’existence.

Les symptômes peuvent toucher :

  • l’humeur (dépression, mélancolie…)
  • la pensée (doute, rumination…)
  • le comportement (alimentaire, sexuel, maternel, social, d’agression, de fuite, d’inhibition, de lutte…)
  • les relations :
    – aux autres (conflits, tension au travail, en famille, dans le couple)
    – à soi même (mal être, anxiété, dévalorisation…)
    – à son propre corps (changements corporels, image de soi, problèmes psychosomatiques, grossesse difficile, cancer…)
  • etc…

Psychanalyse

La psychanalyse est recommandée aux personnes en recherche d’évolution et de développement personnel qui souhaitent se positionner socialement comme des êtres indépendants.

Elle permet « de sortir des schémas enfermants et répétitifs, de dépasser ses angoisses, ses inhibitions et difficultés relationnelles, d’être capable d’aimer et de travailler… » (S.FREUD)

 

Le psychologue est tenu au secret professionnel – Article 378 du code pénal.